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Issue d'Afrique du Sud cette plante pousse et fleurit sur nos plages de la Méditerranée - Simple soignante en cas de dysenterie, maux de gorge et certaines allergies cutanées - Ces griffes de sorcière sont du plus bel effet dans le jardin dans les coloris fuchsia ou jaune.
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Les cyclamens, géraniums, glaïeuls de Byzance, pois de senteur et muguet tentent de fleurir en dépit d'une météo en dents de scie.
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Dans le passé le temps des épidémies a donné lieu à la construction de plusieurs lieux nommés "lieux pitoyables. "la lèpre était le hideux héritage des croisades : l'infection aurait pu être rapportée par les pèlerins au retour de Terre Sainte"
A Arles la léproserie Saint-Lazare a fonctionné du 12ème siècle au 17ème siècle.Cependant la présence antérieure du bacille de la lèpre n'est pas réfutée.
Située à l'écart de la ville vers la nécropole des Alyscamps cette léproserie a abrité nombre de "ladres, mesels mesiaux" termes vulgaires et moqueurs dont les bonnes gens affublaient les malheureux lépreux.
Le seul et principal traitement était l'isolement de ces malades privés de tout marchandage ou échanges avec l'ensemble de la société.De plus les horreurs des manifestations extérieures et la contagion cantonnaient ces lépreux dans leur bâtiment.
En règle générale, les léproseries n'étaient par leur apparences extérieures que de véritables établissements agricoles grevés d'une servitude charitable dont le statut était calqué sur l'ordre de l'hôpital St-Jean de Jérusalem.
Plus tard les léproseries devinrent une annexe ou un service de l'hôpital-Dieu et connurent la même organisation que les services hospitaliers eux-mêmes.
Je me suis rendue sur les ruines de la léproserie une rénovation très importante s'impose et de plus une partie des bâtiments a dû être squattée car plusieurs ouvertures se trouvent fermées avec des parpaings et d'autres méfaits y apparaissent ou y ont laissé des traces.Malheureusement je n'ai pu apercevoir que l'extérieur des 2 bâtiments.
P.S aucun livre et aucun document concernant cette épidémie trouvés à la médiathèque.
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La journée bien ensoleillée nous a attiré dehors en direction des Alpilles.
Pendant le trajet en regardant le bleu du ciel provençal nous avons eu droit à une chorégraphie gratuite effectuée par un couple d'oiseaux de coloris noir.
Ces deux partenaires se sont rejoints en un point et se sont mis à tournoyer sur eux-mêmes en effectuant une sorte de voltige de haut vol pendant quelques instants puis se sont quittés reprenant chacun leur direction respective : était-ce la danse de la victoire du printemps sur l'hiver ?
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En ces temps anxiogènes nous n'avons effectué seulement que deux sorties.
La première à la mer cette dernière qui avait ces couleurs de saison hivernales : bel argent sur les crêtes des vagues et beige sable sur les largeurs. la plage se trouvait humide sur une large frange et par endroits était recouverte de coquillages et d'importants morceaux de bois flotté.
Dans le village, la plus grande partie des monuments, commerces étaient clos.
Balade des plus calme car les promeneurs se comptaient sur les doigts d'une seule main.
La deuxième balade : une excursion dans les Alpilles fut des plus agréable car effectuée sous les rayons du soleil donc 2 heures méga-zen. Nos rencontres se sont résumées en une rencontre de 2 ou 3 personnes, d' 1 alezan broutant tranquillou dans son enclos et d'une fermière binant dans son potager.
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